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West Afr J Med ; 40(9): 982-988, 2023 Sep 28.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-37768267

RESUMO

BACKGROUND: The eating of non-food substances during pregnancy is called pica. It is commonly practised by pregnant women worldwide, including in Nigeria, and has been reported to have a mixed impact on their health. AIM: This study sought to determine the prevalence of pica amongst pregnant women attending the antenatal clinic in Nnamdi Azikiwe University Teaching Hospital (NAUTH), Anambra State, South East, Nigeria. MATERIALS AND METHODS: After obtaining approval from the Ethics And Research Committees in Nnamdi Azikiwe University Teaching Hospital, a cross-sectional survey of 326 consenting pregnant women who met the eligibility criteria was conducted. They were selected by systematic random sampling from 5th September to 5th of November 2022. Data was obtained by interview-based questionnaires and analyzed using the statistical package for Social Sciences (SPSS) version 25.0. The level of significance for this study was set at P < 0.05 for all analyses. RESULTS: The prevalence of pica among this population was 25.8%, and their mean age was 29.3 ± 4.8. The majority identified smell 45 (53.6%) and taste 40 (47.6%) as the reasons for pica practice. Geophagy dominated other forms of pica as white clay was the most consumed item 60 (72.6%). CONCLUSION: This study showed that pica practice was common among pregnant women in this study and geophagy was the dominant form of pica. There is a need to step up health education on the effects of pica in pregnancy.


CONTEXTE: La consommation de substances non alimentaires pendant la grossesse est appelée pica. Il est couramment pratiqué par les femmes enceintes dans le monde entier, y compris au Nigéria, et il a été signalé qu'il avait un impact mitigé sur leur santé. OBJECTIF: Cette étude visait à déterminer la prévalence du pica chez les femmes enceintes fréquentant la clinique prénatale du Nnamdi Azikiwe University Teaching Hospital (NAUTH), dans l'État d'Anambra, dans le sud-est du Nigeria. MATÉRIEL ET MÉTHODES: Après avoir obtenu l'approbation des comités d'éthique et de recherche du Nnamdi Azikiwe University Teaching Hospital, une enquête transversale a été menée auprès de 326 femmes enceintes consentantes qui répondaient aux critères d'éligibilité. Elles ont été sélectionnées par échantillonnage aléatoire systématique du 5 septembre au 5 novembre 2022. Les données ont été obtenues à l'aide de questionnaires basés sur des entretiens et analysées à l'aide du progiciel de statistiques pour les sciences sociales (SPSS) version 25.0. Le niveau de signification de cette étude a été fixé à P < 0,05 pour toutes les analyses. RÉSULTATS: La prévalence du pica dans cette population était de 25,8 % et l'âge moyen était de 29,3 ± 4,8 ans. La majorité a identifié l'odeur 45 (53,6%) et le goût 40 (47,6%) comme les raisons de la pratique du pica. La géophagie domine les autres formes de pica, l'argile blanche étant l'élément le plus consommé (60, soit 72,6 %). CONCLUSION: Cette étude a montré que la pratique du pica était courante chez les femmes enceintes et que la géophagie était la forme dominante de pica. Il est nécessaire de renforcer l'éducation sanitaire sur les effets du pica pendant la grossesse. Mots-clés: Pica, Pratiques de pica, Phagie, Femmes enceintes, Clinique prénatale, Nigeria.


Assuntos
Pica , Gestantes , Gravidez , Humanos , Feminino , Adulto Jovem , Adulto , Prevalência , Estudos Transversais , Nigéria/epidemiologia , Pica/epidemiologia
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